physiologie, science, bénéfices
Etape 1 : comprendre le système nerveux autonome
Etape 2 : de l’importance du tonus vagal en santé globale
Etape 3 : comment augmenter le tonus vagal
Originaire du tronc cérébral, le système nerveux autonome permet de :
Le système nerveux autonome est composé de deux branches :
La balance sympatho-vagale
Les 2 branches du système nerveux autonome agissent de façon contraire comme une balance dynamique, appelée sympatho-vagale. La facilité avec laquelle nous pouvons passer d’un état d’excitation à un état de calme est liée à la capacité de notre balance à réguler notre réponse physiologique interne.
Face aux stimuli externes (environnement…) et internes (émotions, stress, douleur…), une balance flexible et adaptable permet à notre organisme de maintenir un bon équilibre et un fonctionnement optimal, à savoir une bonne homéostasie.
A l’inverse, un manque de flexibilité nous expose à différentes pathologies psycho-somatiques. Plusieurs études cliniques démontrent qu’une balance rigide s’explique essentiellement par un moindre tonus du système nerveux parasympathique, aussi appelé tonus vagal.
Diminution du tonus vagal et pathologies
Ainsi, les personnes diabétiques, hypertendues, asthmatiques ou encore atteintes de maladies inflammatoires ou douloureuses chroniques, présentent un dysfonctionnement du système vagal – matérialisé par une diminution significative du tonus parasympathique.
Indépendamment des problèmes médicaux, cette diminution du tonus vagal se retrouve chez les personnes stressées ou présentant une anxiété généralisée, des crises de panique ou un état de stress post-traumatique.
Plus récemment, la recherche clinique centrée sur les émotions a mis en exergue qu’un tonus vagal élevé favorise une meilleure régulation affective, de meilleures relations sociales et de plus grandes facultés à faire face aux agents stresseurs.
La balance sympatho-vagale
Les 2 branches du système nerveux autonome agissent de façon contraire comme une balance dynamique, appelée sympatho-vagale. La facilité avec laquelle nous pouvons passer d’un état d’excitation à un état de calme est liée à la capacité de notre balance à réguler notre réponse physiologique interne.
Face aux stimuli externes (environnement…) et internes (émotions, stress, douleur…), une balance flexible et adaptable permet à notre organisme de maintenir un bon équilibre et un fonctionnement optimal, à savoir une bonne homéostasie.
A l’inverse, un manque de flexibilité nous expose à différentes pathologies psycho-somatiques. Plusieurs études cliniques démontrent qu’une balance rigide s’explique essentiellement par un moindre tonus du système nerveux parasympathique, aussi appelé tonus vagal.
Diminution du tonus vagal et pathologies
Ainsi, les personnes diabétiques, hypertendues, asthmatiques ou encore atteintes de maladies inflammatoires ou douloureuses chroniques, présentent un dysfonctionnement du système vagal – matérialisé par une diminution significative du tonus parasympathique.
Indépendamment des problèmes médicaux, cette diminution du tonus vagal se retrouve chez les personnes stressées ou présentant une anxiété généralisée, des crises de panique ou un état de stress post-traumatique.
Plus récemment, la recherche clinique centrée sur les émotions a mis en exergue qu’un tonus vagal élevé favorise une meilleure régulation affective, de meilleures relations sociales et de plus grandes facultés à faire face aux agents stresseurs.
L’état de cohérence cardiaque ou résonance cardiaque
Il existe une façon simple et accessible à tous pour agir sur le tonus vagal : le contrôle respiratoire.
L’entraînement régulier au contrôle respiratoire permet d’optimiser le système réflexe (appelé baroréflexe en langage médical) reliant fréquence cardiaque, respiration et tension artérielle.
Nos gros vaisseaux (aorte, carotide) sont munis de capteurs ; en cas de diminution ou d’augmentation de la tension artérielle, ils déclenchent par l’intermédiaire du système nerveux autonome une accélération ou une diminution de la fréquence cardiaque.
Ce phénomène physiologique régulateur peut être optimisé en respirant à une fréquence de 6 cycles respiratoire par minute (cpm), soit un cycle complet d’inspiration et d’expiration toutes les 10 secondes. (Par exemple 4,5 secondes d’inspiration et 5,5 secondes d’expiration).
Cette respiration lente, régulière et guidée, aux alentours de 6 cpm, va mettre en résonance les variations dues à la respiration (hautes fréquences) avec les variations dues à l’activité baroréflexe (basses fréquences). Cet état de résonance est appelé cohérence cardiaque ou résonance cardiaque.
Le seul moyen d’objectiver cet état de cohérence cardiaque est de monitorer le sujet au travers d’un dispositif santé mesurant l’activité de son système nerveux autonome : logiciel de variabilité cardiaque; ce dernier, couplé à des exercices pratiques de contrôle respiratoire sous différents formats (audio, serious games, musicaux… ) et au retour de l’information au patient (feedback), va constituer le socle pratique de l’entraînement au biofeedback de cohérence cardiaque permettant de renforcer le tonus vagal et ainsi de maximiser la flexibilité du système nerveux autonome.
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